%D 2011 %K Essai de longue durée à Frick, travail réduit du sol, reduzierte Bodenbearbeitung, KLINE, klimafreundlicher Ackerbau, Nachhaltigkeitsanalyse %L orgprints18870 %T Klimabilanz im Fricker Langzeitversuch %A Matthias Meier %A Christian Schader %X Conclusion ❯ Sur l'ensemble de la rotation des cultures, le travail réduit du sol a produit près de 20 % en moins d'émissions de gaz à effet de serre par hectare que le labourage, et près de 75 % de carbone en plus a été stocké à long terme. ❯ Aucune différence entre les variantes d'utilisation des engrais. ❯ Les émissions de N2O produites par le sol sont responsables de 25 à 63 % des émissions de gaz à effet de serre (en fonction des cultures). Le reste provient de la combustion d'énergies fossiles. ❯ Dans le travail réduit du sol, la séquestration du carbonecompense les émissions de gaz à effet de serre produites par le travail des cultures (sur l'ensemble de la rotation des cultures). Cette méthode de culture présente donc un bilan climatique neutre. ❯ La compensation n'est cependant effective que jusqu'à ce que la limite de quantité de carbone stockable dans le sol soit atteinte (quelques siècles). ❯ En raison de connaissances insuffisantes, les calculs des émissions de protoxyde d'azote et de séquestration du carbone ne sont pas totalement fiables - ils dépendent étroitement des conditions locales. Il convient donc de faire preuve de prudence avant toute généralisation. Schlussfolgerung ❯ Reduzierte Bodenbearbeitung verursachte über die gesamte Fruchtfolge pro Hektare rund 20% weniger klimawirksame Gase als der Pflug und speicherte langfristig rund 75% mehr Kohlenstoff. ❯ Keine Unterschiede zwischen den Düngungsvarianten. ❯ Die N2O-Emissionen aus dem Boden verursachten je nach Kultur zwischen 25 und 63% der Klimagasemissionen. Der Rest stammt aus der Verbrennung fossiler Brennstoffe. Bei reduzierter Bodenbearbeitung kompensierte die Kohlenstoffsequestrierung die Klimagasemissionen, die durch den Anbau der Kulturen verursacht wurden (über die gesamte Fruchtfolge). Dieser Anbau ist somit klimaneutral. ❯ Die Kompensation erfolgt allerdings nur so lange, bis das Kohlenstoffdepot im Boden aufgefüllt ist (einige Jahrzehnte). ❯ Berechnungen der Lachgasemissionen und der Kohlenstoffsequestrierung sind aufgrund von Wissenslücken mit Unsicherheiten behaftet und stark von den Standortbedingungen abhängig. Verallgemeinerungen müssen deshalb mit der nötigen Vorsicht gemacht werden.